Ecrit le 23 avril 2015 | COACHING, PNL, Stages et Ateliers
Comment développer sa créativité en 5 étapes?
Selon Isaac Asimov en 1965, 5 compétences sont nécessaires pour pouvoir faire émerger une idée géniale.
1-Rassembler des connaisseurs et des excentriques
Le processus de créativité est le même quelque soit les domaines. La créativité émerge de la connexion inattendue de plusieurs faits ou idées épanchent. Pour cela réunir des experts sur le sujet ou le domaine et des personnes qui n’ont pas peur de proposer des solutions excentriques.
2-Créer une ambiance de travail ouverte aux réflexions stupides
« Le plus important est de laisser une certaine quiétude et permissivité. Le monde, en général, désapprouve la créativité, et être créatif en public est particulièrement mal vu. (…) les personnes doivent avoir le sentiment qu’on ne les désapprouvera pas. »
Cela consiste à créer un espace laissant libre cours à l’imagination. Quiétude et Permissivité sont donc les clés de la réussite c’est à dire que les personnes doivent avoir le sentiment qu’on ne les désapprouve pas.
Pour cela il est nécessaire d’éviter des personnes qui ne sont pas capable d’entendre des idées improbables et/ou imposer les siennes.
3-Pas plus de cinq participants en même temps
« Le nombre optimal de personne dans chaque groupe ne doit pas être très élevé. Pas plus de cinq personnes ne sont nécessaires. Un nombre plus élevé de personnes permettrait d’apporter davantage d’informations, mais la tension créée par l’attente de pouvoir s’exprimer peut devenir très frustrante. »
En effet un nombre trop élevé de participants augmente aussi le nombre potentiel de conflits.
4-Cultiver l’informel et éliminer le sentiment de responsabilité
« La jovialité, l’usage des prénoms, les blagues, sont – je pense – à l’origine des idées. Pas en eux-mêmes, mais parce qu’ils participent à l’enthousiasme qui doit accompagner de la folie créatrice. »
La légèreté, le sentiment de non-culpabilité sont donc favorable (retrouver son esprit d’enfant!) à la créativité.
5-Trouver un psychanalyste et un arbitre.
« Il faut qu’une personne ait un rôle proche de celui du psychanalyste, c’est-à-dire poser les bonnes questions pour laisser les personnes parler de leur passé afin d’obtenir de nouvelles connaissances. »
Plutot qu’un psychanalyste comme à l’époque d’Issus Asinov, un coach qui questionne les personnes, permet de faire émerger l’imagination. Le coach aide ainsi les personnes à se donner de nouvelles représentations, des idées hors du commun sans filtres limitants.
source: Rue89